dimanche 18 février 2024

Mon dernier livre

Fin 2023, j'ai publié À l'ombre de Mozart, ma dernière création. Voici le contenu de la 4ème de couverture.

Bernard Victor Chartier, créateur du Café Poésie à la médiathèque de Sillé-le-Guillaume, fondateur avec son épouse Lydie des éditions La plume de Léonie, chroniqueur du Coin des Poètes aux Alpes Mancelles, est habité par une poésie du monde entier devenue art de vivre. L’originalité de ce 8ème recueil est de proposer une musique ou une chanson pour accompagner la lecture de chaque poème porteur d’un fragment de son histoire. L’émotion suscitée par l’évocation d’un souvenir de rencontre, d’amour, de séparation, de vie ou de mort, est amplifiée par l’écoute de la pièce musicale. Son style sans ponctuation permet au lecteur de trouver son propre rythme pour cheminer dans cet univers de mots et de notes.




jeudi 5 novembre 2020

Dans tes pas, peut-être



2020. Une année qui se déroule harmonieusement (***), avec jusque-là trois nouvelles qui ont modifié le cours de ma vie. D'abord, j'ai appris tout début janvier que je devenais grand-père. Ensuite, l'écriture de mon dernier livre Dans tes pas, peut-être. Enfin, la rencontre avec un poète-éditeur, Jean Lavoué, qui a débouché sur la parution de mon livre aux éditions L'enfance des arbres. La rencontre avec Jean Lavoué fait partie des lumières qui ont marqué ma vie.

Les deux premiers événements sont intimement liés. L'annonce de l'arrivée d'une petite poupette dans ma vie a provoqué chez moi un intense ricochet qui m'a fait remonter à ma toute petite enfance. Je ne souhaite pas en dire plus à ce stade, j'invite mes lecteurs à se reporter à mon livre (voir coordonnées en fin de message). Je peux seulement dire que j'ai dédié
à toi
petite poupette
tu embellis mes rides
je te dois ce livre
à Léonie, née le 12 juillet 2020.

Jean Lavoué

Voici un bref extrait du livre que j’ai eu la joie d’écrire ce mois de juillet : « Des clairières en attente »

Bernard Victor Chartier, lui, me faisait parvenir le manuscrit d’un long poème dans lequel il remontait le fil d’une filiation taiseuse, empêchée par la mort brutale de son père alors qu’il n’avait que quelques mois. « Maintenant, je peux t’appeler papa », concluait-il ce long récit-poème de vie médité en remontant les sentes de son terrain sauvage qui, toutes, conduisaient à la cabane qu’il s’était fait construire entre les arbres. Ainsi avait-il fallu à Bernard Victor attendre cet âge mûr pour oser confier, entre haïkus et silences pleins de tendresse, cette détresse de l’enfance à laquelle nul ne répondait : pourquoi ? Pourquoi, moi, je n’ai pas de père ? Cadou fut un pont entre nous. Mais réaliser cet ouvrage, illustré par les magnifiques aquarelles de Bernard Schmitt, un peintre de Lorient qui, chaque jour du confinement, réalisa une œuvre par laquelle il exhaussait de son pinceau un quotidien rendu à sa plus simple expression, fut un bonheur et une complicité réciproques....

Un autre poète a bien voulu écrire un article fort élogieux sur mon livre: PierreTanguy. Voici un extrait de ce qu'il a dit:
Retrouver son père, marcher dans ses pas, le réinventer et peut-être même le ressusciter : Bernard Victor Chartier le fait par le truchement de la poésie sans jamais quitter son jardin ni sa cabane nichée dans un sycomore. Tel un sage au cœur de son bocage sarthois, il médite sur la filiation au sein d’une nature seule à même de lui apporter une forme de résilience.

Christian Bobin m'a écrit ceci:

Rêver dans une cabane en bois c’est avoir le lien le plus puissant avec le monde. Merci pour ce livre qui abrite dans un nid d’encre et de silence votre secret le plus profond. 


Emmanuelle Soni-Dessaigne m'a fait l'amitié de commenter (brillamment). Voici un extrait:

... Je suis ton tracé, doucement, le cœur en suspension à savourer les mots et les laisser me guider. C’est d’une force, d’une délicatesse, d’une innocence et d’une maturité tout à la fois qui m’émeut beaucoup. Et les illustrations sont enchanteresses. Je m’y noie souvent, leurs doux contours esquissent tant de profondeur...


« Dans tes pas, peut-être », à commander

- auprès de Bernard Victor Chartier, 75 rue Général de Gaulle, 72140 Sillé le Guillaume. IBAN communiqué sur demande par courriel bernardvictor.chartier@gmail.com

15 €, plus 3,50 € de frais de port, total 18,50 €.

- ou chez l’éditeur https://www.editionslenfancedesarbres.com/



(***) Toi, ami.e qui lis ce message, tu auras remarqué que je ne parle nullement Covid... Oubli volontaire, d'autres que moi s'en chargent suffisamment...



jeudi 6 septembre 2018

Kôan d'élève

Encore beaucoup de travail pour espérer approcher les maîtres, mais j'essaie...


- Je cherche à m’enivrer de ton mystère.
- Comment es-tu parvenu près de moi ?
- Par la porte des nuages, surtout les resplendissants.
- Alors, demande le sésame au rouge-gorge.


mercredi 24 janvier 2018

Un peu de publicité...

... eh bien oui, de l'auto-promotion...


Ce que l'affiche ne dit pas, c'est en 2018...

dimanche 19 novembre 2017

La vie secrète des arbres

Vous aimez les belles histoires vraies? les découvertes? les romans d'aventures? les livres scientifiques? les thrillers? Oui, ce livre "La vie secrète des arbres" est tout cela et plus encore. Passionnant, instructif (très), foisonnant... Avec parfois une bonne dose d'humour.
Vous avez compris, je vous le recommande chaudement.


jeudi 10 août 2017

Philippe Jaccottet et le haïku

Un passage du livre de Philippe Jaccottet, un de mes auteurs préférés: "Une transaction secrète - lectures de poésie", passage intitulé "L'Orient limpide" sur le haïku (extrait)

"La qualité singulière de cette poésie ne peut s'expliquer que par un état singulier, auquel le poète accède par une série de dépouillements, dont la concision de son vers n'est que la manifestation verbale".

Celles et ceux qui me connaissent me comprendront...

mardi 13 juin 2017

L'oeil bijou


passeur absolu
ô passager du berger
l'oeil est un bijou

jeudi 27 avril 2017

Deux collages récents

Ce message est à l'attention plus particulière de Catherine, Danièle, Isabelle et Judith, avec lesquelles j'ai partagé ce jour des heures de grand intérêt. Je suis preneur de vos remarques...

Ce premier collage s'appelle Exo, parce que j'ai pris comme base de départ une illustration d'une exoplanète, trouvée sur un hebdomadaire.


J'ai nommé le deuxième Désincarcération. C'est plus une amusette, que j'ai réalisée sur la base d'une de mes photos et d'une image tirée d'une revue éphémère.