mercredi 29 juillet 2009

Donald Shimoda

Ce nom vous dit-il quelque chose ? Oui ? Non ? C'est celui du Messie, dans Le Messie récalcitrant de Richard Bach, l'auteur de Jonathan Livingston le Goéland. Je viens de relire ce livre 23 ans après la première fois et je ne devais sûrement pas avoir les mêmes lunettes internes. Certes, on n'y trouve pas la puissance, la subtilité, la profondeur d'autres livres qui conduisent notre recherche, pour ne pas dire notre vie, mais au-dessous d'anecdotes amusantes, on peut ouvrir un coffret à réflexions génératrices d'échanges potentiels. Voici quelques pépites extraites de ce ruisseau aurifère.

Ce que la chenille appelle la fin du monde, le Maître (on peut dire le Sage) l'appelle un papillon.

Afin de vivre libre et joyeux, tu dois sacrifier l'ennui. Ce n'est pas toujours un sacrifice facile.

Voici une épreuve pour découvrir si ta mission sur terre est terminée: si tu es vivant, c'est qu'elle ne l'est pas.

Il n’est jamais un problème qui n’ait un cadeau pour toi entre ses mains.

Il ne t’est jamais donné un désir sans que te soit donné le pouvoir de le rendre réalité.

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